Dans le cadre du renforcement du partenariat tuniso – Québécois, et par volonté commune d’accompagner et de développer le secteur maritime, une convention de partenariat tripartite a été signée le vendredi 31 octobre 2025 au siège de la Confédération des entreprises nationales tunisiennes conect entre le complexe professionnel des industries maritimes GPIM de conect, l’Union des chefs d’entreprises du Québec FEDCEQ et la Chambre de Commerce Canado-Tunisienne (CCCT). Cet accord stratégique vise à renforcer la coopération bilatérale, encourager l’échange d’expériences et d’opportunités d’investissement, et soutenir le développement durable du secteur maritime entre la Tunisie et le Québec.

À travers ce partenariat, les trois parties s’engagent à unir leurs compétences et leurs ressources et à construire des ponts pratiques de coopération entre les acteurs économiques, industriels et universitaires des deux pays.

Ce partenariat vise à faire du secteur maritime un levier de développement, de formation et d’innovation. Avec l’appui de la Chambre de Commerce Canado-Tunisienne CCCT, le complexe professionnel des industries maritimes GPIM et la Fédération des chefs d’entreprises du Québec FEDCEQ travailleront à la préparation d’une stratégie nationale de construction navale en Tunisie, inspirée des meilleures expériences canadiennes, tout en encourageant la création de partenariats industriels et économiques durables.

En plus de renforcer la compétitivité et la rigidité des chaînes d’approvisionnement, cet accord ouvre de nouveaux horizons d’investissement et de croissance pour les deux parties, et incarne la volonté commune de transformer l’intégration entre la Tunisie et le Québec en un modèle de coopération permanent et équilibré basé sur la confiance, la solidarité et l’innovation.

Pour la Tunisie, ce partenariat représente une opportunité de moderniser le système maritime national, de créer des emplois qualifiés et de renforcer sa position de plaque tournante maritime stratégique dans la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord.

 Quant au Québec, il constitue une porte d’entrée distinctive vers de nouveaux marchés francophones et africains, tout en contribuant au développement des compétences humaines et en soutenant l’échange d’expériences.

Source : African challenges