La fondation Tara Océan avait donc dû repousser à ce vendredi la mise à flot de sa base scientifique polaire depuis Cherbourg (Manche), qui doit sillonner l’Arctique dès 2026. La faute à un capteur défectueux et la météo agitée du mardi 1er octobre, jour initialement prévu pour le grand départ.

Au lever du soleil, sous les regards de nombreux journalistes et ouvriers des chantiers navals de Cherbourg, millimètre par millimètre, Tara était pourtant descendue dans l’eau. Mais « au moment de l’immersion de la quille, nous avons remarqué qu’un des capteurs prenait l’eau », avait expliqué Ludovic Marie, directeur de projet, chargé du programme Tara.

Source: Le Parisien