Avec le soutien de la Saison Bleue et des professionnels du tourisme tunisien, Olivier Poivre d’Arvor, en sa qualité d’ambassadeur de France en Tunisie et également Président du Musée National de la Marine en France, a lancé à partir du dimanche 19 juillet 2020, une campagne en faveur de la promotion de la destination Tunisie. Durant plusieurs semaines, M. Poivre d’Arvor prévoit de visiter les villes du littoral tunisien, de Tabarka à Djerba.

«Belle et sûre Tunisie !», tel est le slogan de cette campagne qui prend la forme d’un grand tour du littoral tunisien pour encourager les Français à retrouver « leur destination touristique (et culturelle) bien aimée, la Tunisie». La Saison Bleue a suivi ses pas à travers ses posts sur les réseaux sociaux.

Le coup d’envoi de cette tournée a été donné le 19 juillet sur les plages de Hammamet.

Son Excellence a rappelé dans un post sur Facebook que «Malgré le déconfinement et l’ouverture de nos frontières respectives fin juin, les Français sont encore peu nombreux dans les hôtels ou autres hébergements du magnifique littoral tunisien». M. Poivre d’Arvor a, à cette occasion, rencontré Khaled Fakhfakh, Président de la Fédération tunisienne de l’hôtellerie et Mossaab Battikh, PDG de Magic Hôtels, à Hammamet, à l’hôtel Manar.

Le 7 août, la tournée s’est poursuivie à Djerba. Toujours sous le slogan « Belle et sûre Tunisie! », Olivier Poivre d’Arvor a lancé : « Djerba est à la mode! »

Sur son tour du littoral aux fins de soutenir le tourisme, et après Hammamet, une nouvelle étape, très prisée par les Français s’impose. « C’est évidemment Djerba ».

La 5ème édition de l’événement « Beach Party by Radisson Blu » rebaptisée cette année « Djerba Music Land » by Radisson Blu, se tenait en même temps du 6 au 9, sur la plage du Radisson Blu.

Il s’agit d’un rendez-vous électro de niveau international. Olivier Poivre d’Arvor rapporte que « Mohamed Jerad, directeur de ce très bel hôtel, a non seulement inventé ce festival qui fait le plein de public mais il a réussi, contre vents, marées et Coronavirus, à en assurer cette année encore une brillante programmation de quatre folles nuits. À ne manquer sous aucun prétexte ».

« Et si, en cet été 2020, Djerba était devenue la nouvelle Ibiza? », a-t-il scandé.

Aussi, M. Poivre d’Arvor affirme que « l’hôtel Rym Beach mérite absolument le déplacement. La mer y est sublime. Et danser sur la plage à l’heure du soleil couchant est une expérience rare ».

« Et si, en cet été 2020, Djerba était devenue la nouvelle Ibiza? », a-t-il réitéré.

Le 8 août, après une longue et belle nuit au Djerba Music Land by Radisson, il est retourné dans la matinée du 8 août visiter quelques amis à Houmt Souk. « Et notamment Laure Moreaux qui a réouvert le Fondouk Djerba en juin, l’a désigné avec un goût exceptionnel et en a fait un lieu absolument magique. Habité par l’art et la culture, le Fondouk Djerba résume toute la Tunisie: richesses et beautés du patrimoine et de l’artisanat, saveurs culinaires de la Méditerranée, service raffiné. Et tant de poésie: Luxe, calme et volupté!

Et si, en cet été 2020, Djerba était devenue la nouvelle Marrakech ?».

Le 9 août,  à quelques encablures du bac d’Ajim, au bord du golfe de Bou Ghrara, M. Poivre d’Arvor a découvert pour la première fois le spectaculaire site archéologique de Gightis.

« Cet ancien port punique, créé par les Carthaginois et devenu un grand arsenal militaire sous les Romains, est d’une beauté à couper le souffle. À visiter de toute urgence!

Et si, en cet été 2020, Djerba était devenue la nouvelle Alexandrie ? »

Parmi les bonnes adresses de ce fol été djerbien, en plus du Radisson Blu qui a encore donné le la cette année avec son décoiffant Djerba Land Music, mais également le Rym Beach et son merveilleux culte de la joie de vivre et de l’amitié ou encore le Sunset, je conseille vivement la plage du bel hôtel Meninx et son bar de bord de mer, le Coco Loco Beach Club. Ne pas y manquer les levers et couchers de soleil!

Et si, en cet été 2020, Djerba était devenue le spot le plus joyeux de la planète ?

« A la mode? S’il y a bien un rendez-vous indémodable à Djerba, c’est à Houmt Souk, le restaurant Haroun. Connu pour la remarquable qualité de sa cuisine, le Haroun l’est également pour son cadre enchanteur( c’est un marin qui parle au pays du fameux corsaire Dragut!) et évidemment pour le savoir-faire et l’accueil de son patron, Salim Msallem. Juste avant de quitter Djerba pour Tunis, je n’ai pas résisté à l’envie d’aller le saluer en ce dimanche après-midi très chaud.

Et si, en cet été 2020, Djerba était devenue l’étape la plus gourmande de Tunisie ?

Le 16 août, ce fut le retour de Tabarka.

« Une nuit passée à l’hôtel Thabraca, un des fleurons de la chaîne Magic Hôtels&Resorts. De la beauté et encore de la beauté. Le soleil tombe sur le magnifique littoral de la côte de corail.

La nuit de Tabarka pousse son avantage au pied des montagnes et des bois. Le Fort génois et les Aiguilles sont éclairés de l’intérieur.

Au café des Andalous, à Tabarka, j’ai partagé la superbe victoire de l’Olympique Lyonnais sur Manchester City. 3-1 en quart de finale de la Ligue des Champions. Dans ce décor sublime de carreaux de faïence et de marionnettes suspendues au plafond, fumeurs de chicha et joueurs de cartes semblent être les acteurs anonymes d’un spectacle de toute éternité ».

« Aux Mimosas, à Tabarka, faute cette année de festival de jazz, et pour ne pas songer qu’aux visiteurs glorieux d’antan ( A comme Aragon, B comme Bourguiba, C comme Coltrane et ainsi de suite…), on regarde de la terrasse l’horizon radieux de la Grande Bleue ».

Olivier Poivre d’Arvor a, le lendemain, goûté au plaisir de la plongée sous-marine à Tabarka.  «Plonger, c’était comme retourner à l’essentiel, la nature, la nature et encore la nature ».

Ensuite, place à un voyage dans le temps avec la visite du musée archéologique de Chemtou, «site, qui compte des merveilles». « Cette grande carte… décrit à travers deux cents millions d’années le déplacement de la Tunisie sur la surface terrestre. À raison de deux centimètres de mouvement par an, la Tunisie a ainsi quitté l’actuel emplacement de New York pour rejoindre la pointe septentrionale de l’Afrique. Les Tunisiens, très adaptables, savent y faire pour conquérir leur place dans le monde ». Et de lancer avec humour : « Craignez donc, amis chinois, dans quelques millions d’années supplémentaires, de devoir tous parler le tounsi ! »

Et l’aventure continue…. A suivre !

La rédaction de La Saison Bleue